Posture de l’entrepreneur

A propos de la formation

En se lançant dans l’entrepreneuriat, on se rend vite compte qu’une des premières difficultés face à nos clients, face à notre entourage et face à nous-même est d’adopter la bonne posture…

Passer du salariat à l’entreprenariat n’est pas simple ! Et ce n’est pas facile à faire du premier coup !

Sur la base d’exemples concrets, la communauté ESI a échangé sur ce que signifie “être entrepreneur.

Y-a-t ’il des prérequis pour l’être ?
Quelles sont les motivations qui nous poussent à nous lancer ?
Quelles sont nos responsabilités ?

La “posture entrepreneuriale”, qu’est-ce que ça veut dire ?

Il fut donc nécessaire de définir la posture entrepreneuriale comme étant “la manière d’être de l’entrepreneur par rapport à ses valeurs, à ses convictions, à ce qui nous porte à entreprendre. La posture d’entrepreneur : c’est l’image que l’on a de soi, que l’on donne de soi-même.” 

On construit donc sa posture à partir de qui l’on est.

 Nous sommes tous différents. Il y a donc autant d’entreprises de politiques d’entreprises que de postures entrepreneuriales.

D’ailleurs, qu’est-ce qu’être entrepreneur ?

C’est d’abord un choix, et cela à tout niveau : les personnes avec qui l’on travaille, les tarifs que nous appliquons, le choix de sa cible et de ses clients, notre valeur ajoutée qui nous différencie de la concurrence…

C’est aussi savoir prendre des décisions, dire oui ou non et être libre dans ses choix.

Être entrepreneur, c’est également s’appliquer à être loyal envers ses consœurs et ses confrères, avoir de l’éthique, proposer un service ciblé et de qualité, à son image, qui correspond à ses valeurs, à ses compétences.

Côté responsabilité, c’est savoir se protéger soi-même, et protéger ses clients en respectant la réglementation.

C’est être innovant, avoir le désir de concrétiser une activité indépendante, être son propre chef, acquérir une posture de chef d’entreprise.

Un entrepreneur se retrouve également à devoir développer ses compétences (et à sortir de sa zone de confort), en prenant la casquette de commercial, de gestionnaire, de comptable, de communiquant. Il joue un rôle dans l’économie et la société…

Ce n’est toujours pas un long fleuve tranquille mais plutôt les montagnes russes où il faut savoir jongler entre les hauts et les bas, se défaire de l’idée du revenu fixe et constant en fin de mois.

C’est être seul face à ses responsabilités, avoir peur et avoir des doutes, ce qui est tout à fait naturel.

Pour certain, c’est aussi être employeur et donc manager et gestionnaire RH parfois.

Le plus important, c’est surement faire preuve d’humilité et accepter que l’on ne puisse pas être tout cela, et se laisser aussi le temps d’apprendre.

Il paraît donc important de bien s’entourer et de bien se connaître.

Pour aller encore plus loin nous vous proposons des formations complémentaires :